Bernard Perroy
Nouveau rivage
Me voici devant la nuit,
vêtu de mes seules paroles
d’air et de flammes intérieures.
vêtu de mes seules paroles
d’air et de flammes intérieures.
L’horizon s’étale à mes pieds,
la mer comme une mère
m’entourant de ses délicatesses
la mer comme une mère
m’entourant de ses délicatesses
et de ses prévenances répétées
battant la rive de mes pensées
pour m’ouvrir aux gestes tendres de l’amour,
battant la rive de mes pensées
pour m’ouvrir aux gestes tendres de l’amour,
au simple sourire,
à la patience de nos mains
quand ils défont tous les nœuds de la vie.
à la patience de nos mains
quand ils défont tous les nœuds de la vie.
Bernard Perroy
http://perroybernard.unblog.fr/
http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/la-nuit-comme-le-jour/sophie-dalen%C3%A7
http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/la-nuit-comme-le-jour/sophie-dalen%C3%A7
Commentaires
Enregistrer un commentaire