André Dhôtel 1900 - 1991
« Écrire, c’est s’approcher lentement » (le pays où l’on n’arrive jamais)
« La voix de Dhôtel, c’est de l’eau pure d’autant plus précieuse à mesure que la littérature à la mode se dessèche ou s’empâte ; je m’en abreuve depuis près de trente ans. »Philippe Jaccottet.
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/dhotel/dhotel.html
http://www.andredhotel.org/
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-10-11-la-redoutable-simplicite-d-andre-dhotel-2011-01-02
« La voix de Dhôtel, c’est de l’eau pure d’autant plus précieuse à mesure que la littérature à la mode se dessèche ou s’empâte ; je m’en abreuve depuis près de trente ans. »Philippe Jaccottet.
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/dhotel/dhotel.html
http://www.andredhotel.org/
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-10-11-la-redoutable-simplicite-d-andre-dhotel-2011-01-02
Poèmes
- Le Petit Livre clair, Le Rouge et le noir, 1928 ; Deyrolle & Théodore Balmoral, 1997
- La Chronique fabuleuse et ses avatars cités plus haut peuvent être lus comme des recueils de prose poètique.
- La Vie passagère, Phébus, 1978
- Poèmes comme ça, Le Temps qu’il fait, 2000 (préface de Jean-Claude Pirotte)
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